Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
Il est pas malin, il est soumis. Il suit le protocole
Répondre
|
mcm bonsoir !
J'attire ton attention sur la merveilleuse idée qu'a eu ton président.
Il a créé le CSE.
Grâce au CSE le syndicalisme dans les entreprises publiques c'est terminé.
Le syndicalisme est mort
La raison est simple.
Si sur la plateforme industrielle de courrier de Toulouse il y a un problème le délégué syndical du CSE de la CFTC ou de l'UNSA sera peut-être de Caen ou de Strasbourg ?
En gros parfois le délégué CSE habite à 400 Km de la plateforme industrielle qu'il défend.
Il est malin ton président.
Répondre
|
Annonce pour faire joli !
Qui disparaîtra au premier coup de gueule de la CGT.
C’est l’un des objectifs annoncés (promis) de chaque nouveau ministre, gouvernement, président. Mais dans la réalité, sous la pression permanente de la gauche, il y en a de + en + tous les ans.
Selon l’INSEE, les effectifs ont augmenté de 1 055 000 agents entre 1997 et 2022, soit une hausse de 23 %. Dans le même temps, la population française n’a progressé que de 14 %,
https://econostrum.info/fonctionnaires-vers-baisse-effectifs/
Une seule année de baisse réelle des effectifs : sous Sarko (non remplacement de partants à la retraite - La seule fois qu'un président de la République a conduit à la diminution des effectifs de la fonction publique).
« « A la Poste et chez Orange il y a eu de grosses coupes dans les effectifs. ça fait bien longtemps qu'on n'embauche plus de fonctionnaires à la Poste et chez Orange » »
La Poste et Orange sont : soit entreprise d’état, soit entreprise privée. Donc, leurs salariés n’entrent pas dans la catégorie « Fonctionnaires. » Idem pour les contractuels et autres emplois aidés.
Sans compter la découpe des entreprises publiques (EDF, GDF, FRANCE TELECOM, etc…) . Pour laisser les structures rentables au Privé, et les autres, à la charge des contribuables
« « 1 fonctionnaire peut passer d'1 ministère à un autre. » »
Ce n’est jamais le cas. (sauf éventuellement promotions dans le haut des tableaux)
Pourrait. Ou devrait pouvoir
A condition que le gouvernement accepte de faire front aux syndicats qui seront vent debout.
Cas vécu : un fonctionnaire (de France Télécom) qui a fait une crise de déprime suite au 1/4 de tour de son bureau (meuble).
Répondre
|
En effet à la Poste 450000 fonctionnaires dans les années 80, 26000 aujourd'hui. Moins 10000 grosso modo chaque année.
Répondre
|
"....+36 % pour la fonction publique hospitalière (1,21 million)."
et pourtant...le nombre de lits a considérablement baissé, le service s'est fortement dégradé, le coût des transports sanitaires ont explosé.
Répondre
|
ça fait bien longtemps qu'on n'embauche plus de fonctionnaires à la Poste et chez Orange
Répondre
|
Dans certaines administrations c'est vrai.
Mais il y a des exceptions. A la Poste et chez Orange il y a eu de grosses coupes dans les effectifs.
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Depuis 1997, le nombre de fonctionnaires en France a bondi de 23 %, soit plus d’un million de postes supplémentaires. Une progression bien supérieure à celle de la population (+14 %) et même à celle du secteur privé (+18 %). Ce déséquilibre n’a pas échappé au gouvernement, qui cherche à combler un déficit de 40 milliards d’euros dans le cadre du Budget 2026. Le ministre de l’Économie, Éric Lombard, a annoncé vouloir « engager la baisse du nombre de fonctionnaires » afin de réduire les dépenses publiques.
Cette volonté a été confirmée par la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, qui assure vouloir « revoir cette tendance » en demandant à chaque ministère d’analyser ses besoins en recrutement. Objectif : une réorganisation massive de l’État, mais sans recourir au « rabot aveugle », assure-t-elle. Le ton est donné : priorité à l'efficacité et à la lisibilité, dans un contexte budgétaire de plus en plus contraint.
D’après les derniers chiffres de l’Insee, la fonction publique employait 5,8 millions d’agents fin 2023, soit près de 20 % de l’emploi total en France. Cela représente une hausse de 61 900 postes en un an, dont l’essentiel provient de la fonction publique hospitalière (+1,9 %).
Sur le temps long, la tendance est tout aussi marquée. Le site Fipeco rapporte que l’emploi public a progressé de 1 055 000 agents entre 1997 et 2022, avec des écarts significatifs selon les versants :
La période la plus dynamique fut celle entre 1997 et 2002 (+386 000 agents), suivie par des hausses plus modérées jusqu’en 2017. Paradoxalement, les effectifs ont rebondi de 178 000 agents pendant le premier mandat d’Emmanuel Macron, alors même que le président s’était engagé à supprimer 120 000 postes. Une promesse qu’il a fini par juger « non tenable ».
La masse salariale liée à la fonction publique a également explosé. En 2024, elle a atteint 107 milliards d’euros, en hausse de 6,7 % par rapport à l’année précédente. Cette augmentation est largement due aux mesures catégorielles, qui ont représenté à elles seules 3,7 milliards d’euros.
Lire aussi : L'emploi salarié public en France a progressé de 0,1% au 1er trimestre 2025
Dans une circulaire d’avril, le Premier ministre François Bayrou a appelé ses ministres à respecter les plafonds budgétaires. Il y dénonce un dérapage des dépenses et exige un encadrement plus strict des hausses salariales à venir.
C’est sur les collectivités locales que les regards se tournent. La Cour des comptes recommande de revenir aux niveaux d’effectifs du début des années 2010, ce qui impliquerait la suppression de 100 000 postes, soit 5,5 % des effectifs territoriaux. Ce scénario permettrait, selon les magistrats financiers, de générer 4,1 milliards d’euros d’économies annuelles dès 2030.
Le gouvernement souhaite donc cibler les administrations les plus inflationnistes en matière d’emploi, sans remettre en cause les services essentiels. Il reste cependant à définir précisément les effectifs concernés. Comme l’a indiqué Éric Lombard : « les nombres ne sont pas encore fixés ».
Répondre
|